Le «droit des homosexuels»?

Encore une fois, je suis mal à l’aise face à l’expression «droit des homosexuels» répétée ad nauseam par les médias. Tout d’abord, il y a cette idée qu’on nous accorde quelque chose, voire une faveur. NON! Si je laisse mon consentement à l’État, mon amour et mon sexe m’appartiennent. Puis, pour une raison qui m’échappe, nous avons troqué un espace de liberté dans le système hétérosexiste pour ce soi-disant «droit», et nous voilà, aujourd’hui, constamment opposés à un groupe auquel on veut désespérément ressembler. Et tout cela, pour s’embourber la plupart du temps (bravo aux états qui ne l’ont pas fait) dans une législation du «coming-out». Pourquoi célébrer un mariage quand on peut célébrer un mariage de même sexe ? Fallait-il nous recenser pour un camp de travail que l’État n’aurait pas mieux fait. Nous voici, nous sommes là, vous pouvez dormir en paix. Ce mécanisme n’est sans doute pas conscient, et n’est peut-être pas doté uniquement de mauvaises intentions (autant des gais que des hétéros), mais la question demeure, est-ce que l’hétérosexualité en est une (sexualité) des sexes biologiques ou de l’identité sexuelle ? Somehow this leads us to women oppression. Why are they oppressed? Why do we think, at least in the western civilization, that men enslave women? On this matter, I’m starting to think there’s more than the narrative suggest. Maybe we need to look back and analyze how this all begin or to be more specific, we should be more interested in men relationships: how men behave toward other men. And ultimately, question our relation to objects and assume once for all that there’s no Subject.

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